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    Lettre du 8/6/2020 de "Santé Corps Esprit"

    Dangers du paracétamol : le Pr Raoult aggrave son cas

     Décidément, le Pr Raoult n’a pas fini de dynamiter le système médical.

    En un coup d’œil, il a vu que l’étude du Lancet sur les dangers de l’hydroxychloroquine était « foireuse ».

     

    Dix jours plus tard, le 4 juin, la fraude était révélée au grand jour, et l’étude retirée du journal The Lancet – un fait très rare.

     

    Non seulement les chiffres ont été manipulés, mais ils ont même peut-être été fabriqués…

     

    …tout ça pour faire croire aux gens que l’hydroxychloroquine est un médicament qui tue !

     

    Le Pr Raoult a tout de suite vu que les chiffres ne « collaient » pas.

     

    De mon côté, je vous ai écrit dès le 27 mai que c’était une étude « poubelle »[1].

     

    Et pourtant, au même moment, des Professeurs de Médecine se sont relayés sur les plateaux télé pour dire que l’étude du Lancet était « impeccable ».

     

    « Cette étude est en fait de très bonne qualité », a déclaré sur CNews Philippe Juvin, chef des urgences à l’hôpital Georges-Pompidou.

     

    « L’article n’est pas foireux, il est tout à fait bien écrit », a dit sur BFM TV lePr Christian Funck-Brentano, pharmacologue à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière.

     

    Sans oublier le Ministre de la Santé lui-même, Olivier Véran, qui a immédiatement interdit l’utilisation de l’hydroxychloroquine, sur la base de cette étude trafiquée !

     

    Sidérant, non ?

     

    La réalité, c’est que nos « grands pontes » n’acceptent pas qu’un médicament ancien et peu coûteux comme la chloroquine puisse concurrencer les nouveaux vaccins ou anti-viraux hors de prix.

     

    Comme je vous l’ai expliqué dans ma dernière lettre, notre système médical repose entièrement sur la recherche permanente de molécules nouvelles, brevetables et rentables pour les labos.

     

    Si la chloroquine s’avérait être efficace, ce serait dramatique pour le système, car ce serait la preuve qu’il y a beaucoup de molécules anciennes ou naturelles, non brevetables, qui sont intéressantes…

     

    …et qu’il faudrait donc arrêter de tout miser sur des nouvelles molécules ou de nouveaux vaccins et s’ouvrir aux médecines alternatives, traditionnelles et naturelles.

     

    En bref, derrière l’affaire de la chloroquine, ce sont les profits exorbitants de Big Pharma qui sont menacés… et par ricochet, les contrats juteux dont profitent les professeurs de médecine liés à l’industrie pharmaceutique.

     

    Il fallait un homme indépendant comme le Pr Raoult pour avoir le courage de briser ce tabou.

     

    Et le plus beau, c’est qu’il ne s’arrête pas en si bon chemin !

     

    Depuis quelques semaines, il brise un autre tabou sur les dangers du paracétamol (Doliprane, Efferalgan, Dafalgan, etc.) !

     

    Cela me fait très plaisir, là aussi, car c’est une position que je défends depuis des années :

     

    Le paracétamol, un poison ? Petit retour en arrière

     

    Il y a plus de 3 ans, début 2017, je vous avertissais des dangers méconnus de ce médicament dans une lettre intitulée « Paracétamol : lisez ceci avant d’en avaler le moindre gramme »[2].

     

    Je citais l’un des toxicologues les plus respectés au monde, le Dr David Juurlink, qui avait lâché une bombe en disant : « Si le paracétamol était mis sur le marché aujourd’hui, il ne serait pas autorisé à la vente ».

     

    Et en effet, déjà en 2017, on avait des études accablantes sur certains dangers du paracétamol.

     

    Mais le problème est que le paracétamol est devenu un tabou intouchable !

     

    Pas seulement parce que le paracétamol est NUMERO 1 des pharmacies en France.

     

    Pas seulement parce que les multinationales pharmaceutiques gagnent plus de 6 milliards de dollars avec ce produit.

     

    Mais surtout parce que reconnaître ses dangers serait un aveu catastrophique pour le système médical !

     

    Comme je vous l’écrivais en février 2017 :

     

    « Pour l’industrie pharmaceutique, le paracétamol est comme un domino : s’il s’effondre, il entraînera beaucoup d’autres médicaments dans sa chute. Car le paracétamol a longtemps joui d’une « bonne réputation » – si même lui est inefficace et dangereux, que penser des autres médicaments ?

     

    Pour nos autorités de santé, c’est leur crédibilité qui est en jeu : comment ont-elles pu recommander son utilisation massive pendant si longtemps, et l’autoriser en vente libre ?

     

    Quant aux médecins qui ont prescrit ce médicament de bonne foi pendant des années, ont-ils vraiment envie qu’on leur dise qu’ils ont mis leurs patients en danger ? »

     

    A l’époque, évidemment, ma lettre n’a pas plu à tout le monde.

     

    L’industrie pharmaceutique avait même répliqué avec un article hallucinant de mauvaise foi publié dans le journal 20 Minutes[3] (un article, toute proportion gardée, aussi « bidon » que l’étude frauduleuse du Lancet contre l’hydroxychloroquine du Pr Raoult).

     

    Mais depuis, les études défavorables au paracétamol ont continué de s’accumuler.

     

    L’État de Californie s’apprête à classer ce médicament parmi les produits « cancérigènes »[4].

     

    Alors les autorités de santé françaises ont bien été obligées de se réveiller :

     

    Petit à petit, l’Agence du médicament a dû agir contre le paracétamol

     

    Comme souvent, ce sont des « faits divers » qui font avancer les choses.

     

    Vous vous souvenez peut-être de Naomi Musenga, cette femme de 22 ans qui a téléphoné aux urgences, et qui est morte quelques heures plus tard, parce que le SAMU n’a pas pris son appel au sérieux.

     

    Eh bien le Procureur de Strasbourg a reconnu en juillet 2018 que la cause de sa mort était « une intoxication au paracétamol absorbé par automédication sur plusieurs jours » [5].

     

    Un an plus tard, en juillet 2019, l’Agence du Médicament a exigé que toutes les boîtes de paracétamol comportent cette mention obligatoire :

     

                SURDOSAGE = DANGER – Dépasser la dose peut détruire le foie 

     

    C’était un petit progrès.

     

    Medicament Paracetamol

     

    Puis, en janvier 2020, l’Agence du Médicament a mis fin au « libre service » du paracétamol.

     

    Depuis le début de l’année, les pharmacies doivent placer les boîtes de paracétamol « derrière le comptoir », ce qui oblige les clients à le demander au pharmacien pour l’obtenir.

     

    Medicament Doliprane

     

    Là encore, c’est un pas dans la bonne direction, mais trop timide.

     

    Pr Raoult : « le paracétamol devrait être uniquement prescrit SUR ORDONNANCE »

     

    Depuis le début, je pense qu’il faut aller plus loin dans la restriction de ce médicament.

     

    C’est triste à dire, mais on ne peut pas faire confiance aux pharmaciens pour limiter les dégâts.

     

    Selon une enquête du journal UFC-Que Choisir, une pharmacie sur quatre (24 %) conseille des doses dangereuses, supérieures à 4 grammes par jour[6].

     

    C’est très grave, car certaines personnes au foie fragile peuvent finir à l’hôpital avec seulement 2 à 3 grammes par jour.

     

    Voilà pourquoi je demande que le paracétamol ne soit accessible que sur ordonnance.

     

    Mais depuis le début, je me sens très seul dans ce combat.

     

    Alors vous imaginez à quel point j’ai été heureux de voir que le Pr Raoult partageait mon point de vue !

     

    Il l’a dit plusieurs fois, dans la presse et à la télévision :

     

    « Les effets secondaires du Doliprane sont bien pires que ceux de la chloroquine »[7].

     

    « Le Doliprane est plus dangereux que l’hydroxychloroquine (…). C’est la première cause d’intoxication dans les pays modernes au monde. C’est dangereux le Doliprane. Ça tue beaucoup »[8].

     

    Et le 26 mai, sur LCI, il est allé un cran plus loin, expliquant que le paracétamol devrait être prescrit par des médecins, sur ordonnance[9] !

     

    C’est du bon sens… mais là aussi, presque personne ne le dit publiquement, à part le Pr Raoult !

     

    Là encore, Ce Professeur de Marseille fait preuve d’un immense courage contre la pensée unique.

     

    Il y a juste une dernière chose qu’il ne dit pas (ou pas encore ?) sur le paracétamol.

     

    C’est que ce médicament a probablement aggravé l’état des malades du Covid-19 :

     

    Donner du paracétamol au malade du Covid-19 : une décision CRIMINELLE

     

    Vous le savez, je pense qu’il était particulièrement dangereux de prendre du paracétamol en cas d’infection au Covid-19.

     

    Donner du paracétamol à des malades du Covid-19 est doublement dangereux, car :

     

    • Ce médicament supprime la fièvre, qui aide à lutter contre le virus ;
    • Et il vide vos réserves de glutathion, votre autre grand allié pour guérir de l’infection !

     

    Sur l’intérêt de la fièvre pour guérir les infections, je vous invite à regarder l’explication du Dr Ménat, dans cette vidéo qui a fait près de 200 000 vues sur Youtube.

     

    Je rappelle que la fièvre sert précisément à tuer les virus et les empêcher de se multiplier, car ils supportent mal les hautes températures.

     

    Et on sait que notre système immunitaire fonctionne mieux lorsque la température du corps est élevée, donc pendant la fièvre !

     

    La fièvre est un de nos premiers systèmes de défense, et il est donc dangereux de la « casser »…

     

    …surtout face au coronavirus chinois qui peut faire de gros dégâts lorsqu’il envahit les poumons et d’autres organes !

     

    Mais ce n’est pas tout.

     

    Il se trouve que le paracétamol nous prive d’une autre défense naturelle capitale : le glutathion !

     

    Écoutez bien ce que dit le Dr Jean-Paul Curtay : « pour fonctionner, les globules blancs ont besoin d’un « allumeur », qu’on appelle le glutathion »[10].

     

    Je rappelle que les globules blancs sont les cellules de notre système immunitaire qui luttent contre les virus.

     

    Or, poursuit le Dr Curtay, « le paracétamol effondre nos taux de glutathion ».

     

    C’est un fait bien connu des médecins, si bien qu’en cas d’intoxication au paracétamol, l’antidote est précisément de donner au malade un précurseur du glutathion.

     

    Donc, en vidant nos réserves de glutathion, le paracétamol affaiblit notre système immunitaire et favorise la propagation du virus dans notre corps !

     

    Pire : des médecins ont constaté aussi que notre glutathion est très utile pour nous protéger en cas de tempête inflammatoire[11] !

     

    Donc, si on vide vos réserves de glutathion avec du paracétamol, on vous laisse encore plus vulnérable face aux chocs inflammatoires… et vous avez plus de risques de mourir !

     

    Le Pr Raoult l’a dit et répété : ne pas traiter les malades et se contenter de leur donner du paracétamol était une forme de non-assistance à personne en danger.

     

    Mais je pense que c’est encore pire que ça : donner du paracétamol aux malades du Covid-19 a probablement aggravé l’état de certains, et peut-être causé des morts !

     

    Donc, nos « grands pontes » liés à l’industrie pharmaceutique s’acharnent depuis le début contre l’hydroxychloroquine, alors que c’est un des médicaments les plus sûrs au monde et qu’il avait une chance d’aider les patients à guérir…

     

    …mais ces mêmes « sommités » de la médecine ne voient absolument aucun inconvénient à donner du paracétamol aux malades, alors que ce médicament qui n’a strictement aucun effet antiviral et qu’il risque au contraire d’aggraver la maladie !

     

    Quand je vous dis que le système marche sur la tête…

     

    Espérons qu’il y ait, à l’avenir, davantage de « Pr Raoult » qui osent briser les tabous !

     

    Bonne santé,

     

    Xavier Bazin

     

     

    Sources

    [1]https://www.sante-corps-esprit.com/etude-sur-la-chloroquine-les-masques-tombent/

     

    [2]https://www.sante-corps-esprit.com/danger-paracetamol-doliprane/

     

    [3]https://www.sante-corps-esprit.com/alerte-journal-20-minutes-intox/

     

    [4]https://www.forbes.com/sites/brucelee/2020/01/25/tylenol-could-have-a-cancer-warning-in-california-here-are-the–issues/#4fade76a2f0c

     

    [5]https://www.nouvelobs.com/societe/20180711.OBS9530/naomi-musenga-est-morte-d-une-intoxication-au-paracetamol-absorbe-par-automedication.html

     

    [6]https://www.huffingtonpost.fr/2018/03/21/paracetamol-selon-lufc-que-choisir-un-pharmacien-sur-quatre-conseille-des-doses-dangereuses-pour-la-sante_a_23391304/

    [7]https://www.capital.fr/economie-politique/les-effets-secondaires-de-la-chloroquine-1365660

     

    [8]https://www.20minutes.fr/sante/2785711-20200525-coronavirus-marseille-didier-raoult-etude-remet-cause-hydroxychloroquine-foireuse

     

    [9]https://www.lci.fr/sante/replay-video-du-professeur-didier-raoult-invite-exceptionnel-de-david-pujadas-mardi-28-mai-2020-sur-lci-hydroxychloroquine-covid-19-coronavirus-2154695.html

     

    [10]https://www.wedemain.fr/Confinement-voici-comment-adapter-son-regime-alimentaire_a4647.html

     

    [11]https://zenodo.org/record/3738125#.XttOLxMzZQI

     


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    Lettre de Mr Bazin au sujet de la fièvre

     

    Lettre de Mr BAIZIN au sujet de la fièvre

     

    Urgent coronavirus : le geste à ne surtout PAS faire

     

    Cher(e) ami(e) de la Santé,

    Le Ministre de la Santé Olivier Véran a déclaré samedi 14 MARS 2020 : 

    « La prise d'anti-inflammatoires (ibuprofène, cortisone, ...) pourrait être un facteur d'aggravation de l’infection »

    Il a raison : en cas de fièvre, ne prenez surtout pas de médicament anti-inflammatoire comme :

    L’Ibuprofène (Advil, Nurofen…)

    Le Diclofénac (Voltarene)

    L’aspirine

    Mais il y a un autre médicament à éviter à tout prix.

    C’est le paracétamol (Doliprane, Dafalgan, Efferalgan…).

    Certes, le Ministre de la Santé a dit exactement le contraire.

    Voici la totalité de sa déclaration :

    « La prise d'anti-inflammatoires (ibuprofène, cortisone, ...) pourrait être un facteur d'aggravation de l’infection.

    En cas de fièvre, prenez du paracétamol ».

    Mais je le dis haut et fort : cette déclaration est irresponsable.

    Plusieurs médecins m’ont appelé ce week-end pour me demander de vous dire la vérité.

    Ils n’osent pas le faire eux-mêmes, de peur d’être sanctionnés.

    Aujourd’hui, je vous envoie peut-être la lettre la plus importante que je vous ai jamais écrite.

    Elle pourrait aider à sauver des vies et freiner l’épidémie.

    Lorsque vous l’aurez lue, jusqu’au bout, je vous demande de la transférer à tous vos contacts.

    Car cette lettre contient des conseils de bon sens dont on ne vous parle pas…

    …comme d’éviter à tout prix de faire baisser la fièvre :

    Faire baisser la fièvre est UNE FOLIE*

    (surtout s'il n'y a pas de médicaments efficaces pour contrer le virus étant donné que dans ce cas elle est notre unique défense.)

    Cela fait 50 ans que le Prix Nobel de Médecine français André Lwoff l’a démontré[1]

    Cela fait des dizaines d’années que les médecins « éclairés » le disent à leurs patients.

    Cela fait 4 ans que la Haute Autorité de Santé l’a reconnu, du bout des lèvres[2].

    Cela fait 2 ans que l’un des plus grands spécialistes des virus au monde l’a clamé publiquement[3].

    Faire baisser la fièvre artificiellement, par un médicament, est DANGEREUX.

    C’est presque toujours une mauvaise idée, quelle que soit l’infection.

    Mais contre le coronavirus chinois, cela peut avoir des conséquences catastrophiques.

    Je rappelle que ce virus commence à infecter votre nez et votre gorge.

    Et si le virus en reste là, vous ne risquez rien.

    Sur le navire de croisière Diamond Princess, près de la moitié des passagers testés positifs au coronavirus ne se sont même pas aperçus qu’ils avaient une infection !

    Et parmi les autres, ceux l’ont « senti passer », la majorité n’a ressenti qu’un gros rhume.

    Les problèmes commencent quand le virus gagne vos poumons.

    Votre priorité est donc de tout faire pour l’éviter, quand vous avez de la toux ou de la fièvre.

    Il existe des gestes simples, dont les autorités ne vous parlent pas et qui peuvent vous y aider (je vous les détaille ci-dessous).

    Mais s’il y a bien une chose à ne surtout pas faire, c’est faire baisser la fièvre avec un médicament.

    Car la fièvre est votre première ligne de défense* contre la propagation du virus dans vos poumons.

     Ecoutez le Pr Paul Offit, chef de la Division des Maladies Infectieuses à la Perelman School of Medicine de l'Université de Pennsylvanie :

    « De nombreuses études ces dernières années ont montré que prendre des médicaments pour faire baisser la fièvre nuit à la capacité du corps à surmonter une maladie »[4].

    En France, la Haute Autorité de Santé a dit exactement la même chose :

    « La fièvre peut avoir un effet bénéfique lors d’infections invasives sévères et il a été observé que des infections graves non fébriles (sans fièvre) étaient associées à une augmentation de la mortalité.

    Par ailleurs, quelques publications indiquent que l’utilisation d’antipyrétiques (médicaments qui font baisser la fièvre) pourrait retarder la guérison de certaines infections virales »[5]

    Je vous ai expliqué pourquoi en détail dans ma lettre « Quand allons-nous arrêter de faire baisser la fièvre », envoyée le 30 octobre 2019[6].

    Pour résumer, retenez que :

    Les virus ne résistent pas à une haute température: c’est pour tuer les virus que la chaleur de votre corps augmente avec la fièvre !

    A haute température, notre système immunitaire fonctionne mieux – surtout les cellules immunitaires spécialisées pour tuer les virus et bactéries !

    Et si vous n’êtes pas encore totalement convaincu, sachez que des études récentes ont prouvé que les médicaments anti-fièvre :

    prolongent les symptômes de la grippe[7];

    retardent la résolution des symptômes de la varicelle[8]

    et prolongent la durée des rhumes (rhinovirus) et en aggravent les symptômes[9].

    Face au coronavirus, il est donc ÉVIDENT qu’il faut éviter de baisser la fièvre.

    Il faut donc éviter à tout prix les anti-inflammatoires (Ibuprofen…), bien sûr…

    …mais aussi le paracétamol (Doliprane…)

    Mais, vous me direz, si c’est si évident, pourquoi les autorités ne vous le disent pas ?

    Et pourquoi le Ministre de la Santé vous dit exactement le contraire ???

    Pour la même raison, hélas, que celle qui conduit nos autorités à :

    éviter de vous recommander de prendre de la vitamine D et d’autres remèdes naturels scientifiquement prouvés contre les infections virales respiratoires comme le coronavirus (je vous les détaille plus loin) ;

    refuser de préconiser les traitements médicaux qui ont fait leurs preuves en Chine et en Corée du Sud (injections de vitamine C / hydroxychloroquine + zinc) ;

    et cacher la raison pour laquelle les personnes hypertendues sont aussi gravement affectées par le coronavirus (réponse : certains médicaments anti-hypertension aggravent l’infection).

    Cette raison, c’est que notre système médical est entièrement tourné vers l’argent et le prestige.

    L’industrie pharmaceutique n’a rien à gagner à vous prescrire des remèdes naturels (ou des médicaments anciens)… et beaucoup d’argent à perdre si vous arrêtez de prendre certains médicaments.

    Et nos « grands professeurs de médecine » ne retirent aucun prestige à vous conseiller ce que les médecins éclairés, homéopathes et naturopathes compétents vous disent depuis des années.

    Comme le dit ironiquement le Pr Raoult, avec des anciens remèdes comme la chloroquine « on coupe l’herbe sous le pied de plein de gens qui rêvaient de décrocher le Prix Nobel pour avoir trouvé un nouveau médicament ou un nouveau vaccin »[10].

    Voilà pourquoi vous ne pouvez pas attendre de nos autorités qu’elles vous disent toute la vérité face à la crise actuelle.

    Et c’est pourquoi je vous écris cette lettre : pour vous dire, en toute indépendance, ce que vous pouvez faire pour vous protéger et protéger vos proches contre le coronavirus.

    Vous trouverez ci-dessous un « protocole naturel », simple à mettre en place, efficace, sans risque et scientifiquement étayé.

    Mais je voudrais quand même vous dire un mot de plus sur les médicaments anti-fièvre :

    Pourquoi les médicaments anti-inflammatoires (et anti-hypertension) sont si dangereux

    Donc, les médicaments anti-inflammatoires comme l’ibuprofène ont le défaut de casser la fièvre, ce qui vous prive d’une ligne de défense efficace contre le virus.

    Mais ils ont aussi un autre effet désastreux, spécifique au coronavirus chinois.

    C’est ce qui explique qu’au moins quatre personnes jeunes sont actuellement en réanimation, à Toulouse, simplement parce qu’elles ont eu le malheur de prendre de l’ibuprofène !

    Voici ce qui est en train de se passer.

     Le coronavirus se multiplie dans les poumons en s’attachant à un récepteur appelé « enzyme de conversion de l’angiotensine 2 » ou ACE2.

    Comme l’explique bien un journaliste, « si l'on considère le corps humain comme une maison et le coronavirus comme un voleur, alors l'enzyme ACE2 est la poignée de porte grâce à laquelle l'intrus pénétrera »[11].

    Or plusieurs substances augmentent le nombre de récepteurs ACE2… et pourraient donc faciliter l’entrée du virus :

    C’est clairement le cas de l’ibuprofène – d’où la déclaration de notre Ministre de la Santé ;

    Mais aussi certains médicaments anti-hypertenseurs nommés « inhibiteurs de l'enzyme de conversion » (IEC) et les antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II » (sartans)[12].

    Notez que ces médicaments anti-hypertension sont parfois également utilisés dans le traitement du diabète.

    Et comme par hasard, les deux maladies les plus fréquemment associées à une mauvaise réaction au coronavirus sont :

    L’hypertension

    Et le diabète

    Ce qui est très inhabituel pour une infection respiratoire !

    La raison, très vraisemblablement, est que les médicaments aggravent la situation !

    Je vous conseille donc de consulter votre médecin dès maintenant si vous prenez ces médicaments – il existe des médicaments alternatifs, mais seul votre médecin peut vous les prescrire (et n’arrêtez surtout pas votre traitement sans son avis !)

    (Entre parenthèses, vous gagnerez de toutes façons à éviter ces médicaments : parmi leurs effets indésirables, les IEC et sartans augmentent votre risque de cancer du poumon[13][14] !)

    Pour le paracétamol, le problème est un peu différent :

    Pourquoi vous devez éviter AUSSI le paracétamol

    Le paracétamol, comme les anti-inflammatoires, a le grand tort de faire baisser la fièvre artificiellement, et c’est une raison suffisante de ne pas en prendre. *

    Mais en plus, si vous en prenez pendant plusieurs jours, vous avez de vrais risques de vous retrouver à l’hôpital pour une défaillance du foie.

    Rappelez-vous de Naomi Musenga, cette femme qui est morte après avoir appelé les urgences… sans qu’on la prenne au sérieux.

    Eh bien le Procureur de Strasbourg a découvert que sa mort était liée à « une intoxication au paracétamol absorbé par automédication sur plusieurs jours ».

    De fait, dès que vous prenez 2 ou 3 grammes par jour, vous mettez votre foie en grave danger.

    Selon un rapport du Ministère de la Santé du Canada, 1 cas sur 5 d’intoxication gravissime au paracétamol a lieu alors que le patient a respecté la dose autorisée[15].

    Et bien sûr, si vous dépassez la dose maximale (plus de 3 grammes par jour[16]), vous prenez encore plus de risques…

    …et c’est ce qui pourrait se passer avec la déclaration irresponsable de notre Ministre !

    J’imagine déjà les milliers de gens qui vont se ruer à la pharmacie pour acheter du paracétamol, en croyant que c’est efficace contre le coronavirus !

    S’il vous plaît, transférez cette lettre autour de vous, il faut absolument éviter ça !

    Surtout qu’il y a encore un autre risque avec le paracétamol : il épuise vos réserves de glutathion !

    Or le glutathion est le « maître des anti-oxydants » : il permet à d’autres vitamines cruciales, comme les vitamines C et E, de jouer pleinement leur rôle.

    Et surtout, le glutathion est utilisé par notre système respiratoire pour protéger ses cellules saines contre les dégâts inflammatoires[17].

    D’ailleurs, c’est parce qu’une substance comme l’acétylcystéine (NAC) augmente vos réserves de glutathion qu’elle fluidifie les bronches et protége vos poumons.

    Bref, c’est, à tous points de vue, une TRÈS MAUVAISE IDÉE de prendre du paracétamol.

    Selon la Haute Autorité de Santé, la seule justification du paracétamol est la « lutte contre l’inconfort » liée à la fièvre[18].

    Mais il vaut mieux pour vous être « inconfortable » pendant quelques jours, avec une fièvre à 39,5°, plutôt que de vous retrouver hospitalisé, avec assistance respiratoire.

    Et à ce sujet, n’allez surtout pas encombrer les hôpitaux si vous avez « seulement » de la fièvre. N’appelez le SAMU (15) que si vous avez du mal à respirer !

    Maintenant qu’on a vu ce qu’il ne faut pas faire, voici ce qu’il faut faire.

    J’ai un peu affiné le « protocole naturel anti-coronavirus » depuis ma dernière lettre sur le sujet, pour qu’il soit encore plus simple à réaliser.

    Vulnérable ou pas, voici ce que vous devez faire MAINTENANT

    Que vous soyez une personne vulnérable ou non, vous avez tout intérêt à être le mieux préparé possible, physiquement.

    Cela passe d’abord par trois gestes simples :

    Une bonne alimentation – évitez les aliments sucrés qui plombent les défenses immunitaires, et mangez assez léger (remplissez-vous au 9/10ème, comme disent les Japonais) ;

    Un bon sommeil– pour vous aider, éteignez cette foutue télé et arrêtez de regarder les news anxiogènes, surtout le soir !

    Et une activité physique douce et régulière, ce qui est, d’ailleurs, un des meilleurs « anti-stress » qui existe (je dis bien « douce », ce n’est pas le moment de faire un marathon ou de la musculation intensive).

    Je conseille aussi de prendre deux compléments alimentaires :

    La vitamine D, dont l’efficacité a été prouvée scientifiquement contre les infections respiratoires aiguës[19]: allez en pharmacie, cela ne coûte presque rien, et prenez 10 000 UI par jour pendant 10 jours, puis 4 000 UI par jour pendant 2 mois (si vous savez que vous avez déjà un taux optimal, 2 à 3 000 UI par jour peuvent suffire).

    Un multivitamines de qualité, qui contient des quantités suffisantes de vitamine C, de vitamine E (naturelle) et de zinc.

    Personnellement, je prends de la vitamine D et un multivitamines toute l’année, mais si ce n’est pas votre cas, c’est le moment ou jamais de le faire, pendant au moins 2 mois.

    Je vous renvoie à ma dernière lettre pour les justifications scientifiques, mais je voudrais ajouter un mot sur le zinc.

    Le zinc est un puissant anti-viral, dont il ne faut surtout pas manquer en ce moment.

    Mieux : ce pourrait même être un nutriment clé en traitement des cas les plus graves de coronavirus : comme je le disais, la Corée du Sud a d’excellents résultats avec une alliance hydroxychloroquine + zinc.

    Dans un monde idéal, les compléments alimentaires devraient être remboursés par la Sécurité Sociale, mais vous avez compris que notre système médical n’avait rien d’idéal (ni même de « normal »).

    Enfin, toujours en prévention, c’est le moment de vous faire plaisir avec, chaque jour, une tisane de thym, avec un demi-citron bio pressé et du miel.

    Pour les personnes vulnérables : à faire AUSSI, DÈS MAINTENANT

    Voici maintenant les conseils que je recommande plus spécifiquement à ceux qui sont vulnérables.

    Donc, ceci s’adresse en priorité aux plus de 60 ans qui ont un ou plusieurs problèmes de santé (maladie pulmonaire, maladie cardiovasculaire, diabète, etc.):

    Faites une cure de propolis de 3 semaines : 400 mg le matin, 400 mg le soir.

    La propolis est un des plus puissants anti-viraux qui existent.

    Et si vous voulez vraiment mettre toutes les chances de votre côté, achetez aussi un spray de propolis pour la gorge, et utilisez-le au moindre début de mal de gorge, pour éviter que le virus ne gagne vos poumons.

    Utilisez l’huile essentielle de Ravintsara (Cinnamomum camphora CT cinéole)

    Pour vous protéger des virus, il faut appliquer deux gouttes pures, sans frotter, sur les poignets et avant-bras, chaque matin et soir, cinq jours sur sept (vous pouvez aussi utiliser une goutte de ravintsara et une goutte d’arbre à thé, plutôt que 2 gouttes de ravintsara).

    Il est rarissime que cette huile essentielle cause le moindre souci, mais il peut exister des peaux ultra-fragiles, donc essayez d’abord une seule goutte pour voir comment cela réagit sur vous.

    Faites une cure de deux mois de quercétine

    La quercétine est un anti-viral puissant[20], dont il y a de bonnes raisons de penser qu’il pourrait être efficace contre le coronavirus, en prévention et traitement[21] (cette substance a aussi le mérite de protéger vos poumons[22]).

    Je conseille au moins 500 mg par jour et vous pouvez facilement passer à 1 000 mg par jour si vous êtes infecté, il n’y a aucun effet indésirable avec ce dosage.

    Si vous êtes infecté, cette huile essentielle pourrait faire une différence

    Si vous êtes infecté et que vous n’avez pas encore suivi les conseils que je viens de vous donner, c’est le moment ou jamais de le faire.

    Simplement, à la place de l’huile essentielle de ravintsara, utile en prévention, essayez celle de Laurier Noble, potentiellement efficace en traitement du coronavirus.

    Voici en effet ce qu’a déclaré Pierre Franchomme, un des plus grands spécialistes au monde des huiles essentielles :

    « Les propriétés anti-virales du laurier noble ont fait l’objet de recherches bien documentées.

    C’est le cas d’une étude dirigée par Monica Loizzo, de la faculté de Pharmacie de Calabre. Elle a montré l’activité in vitro de l’huile essentielle de laurier noble sur le virus SARS-CoV responsable de l’épidémie de SRAS de 2003[23] »

    En pratique, Didier le Bail propose le protocole ci-dessous :

     « L’huile essentielle de Laurier noble est à utiliser par voie cutanée et de préférence sous forme pure, c’est-à-dire sans avoir été diluée dans une huile végétale ou mélangée à du gel d’aloe vera.

    En pratique, appliquer HE Laurier noble sur les voûtes plantaires à raison de 5 gouttes par voûte et ce, plusieurs fois par jour.

    Il est capital de procéder à l’application uniquement sur cette partie du corps car on assure ainsi une diffusion rapide et optimale des molécules aromatiques jusque dans les alvéoles pulmonaires. »

    Voilà pour les conseils de base.

    Encore une fois, je vous appelle à transférer cette lettre à tous vos contacts, maintenant.

    Je compte sur vous, c’est très important.

    Bonne santé à tous,

    Xavier Bazin

    PS : je voudrai finir en vous donnant quelques nouvelles rassurantes :

    A lire si vous êtes en train de PANIQUER

    Les bonnes nouvelles sont d’autant plus précieuses en ce moment que le stress et l’angoisse sont mauvais pour votre système immunitaire !

    Il est donc urgent d’éteindre la télévision et de regarder la réalité en face.

    D’abord, je rappelle que vous ne risquez quasiment rien si vous êtes jeune, non-fumeur et que vous n’avez aucune maladie chronique.

    Si vous n’avez aucun problème de santé et que vous avez moins de 60-70 ans, vous n’avez pas de crainte à avoir : même si vous attrapez le coronavirus, vous n’avez quasiment aucune chance d’avoir des complications sérieuses.

    Votre priorité est donc d’éviter de contaminer les personnes vulnérables.

    Qui sont les personnes vulnérables, qui pourraient risquer de mourir du coronavirus ?

    Ce sont les personnes de plus de 50-60 ans qui ont AUSSI une des maladies suivantes :

    Maladie pulmonaire

    Maladie cardiaque

    Hypertension

    Diabète

    Cancer

    Immuno-dépression (par exemple à la suite d’une greffe d’organe)

    Notez qu’il vaut mieux avoir 85 ans et se sentir en pleine santé, plutôt qu’avoir 55 ans, être fumeur et souffrir d’une maladie cardiaque.

    Et bien sûr, si vous avez 80 ans, que vous fumez ET que vous avez de l’hypertension ou une maladie pulmonaire, alors vous devez tout faire pour éviter d’attraper le coronavirus.

    Votre priorité à vous est d’éviter de côtoyer les autres.

    N’oubliez pas que des personnes qui ont l’air en pleine santé peuvent avoir le virus et vous le transmettre.

    Cela ne veut pas dire qu’il faut rester « cloîtré » chez vous.

    Au contraire, sortez-vous promener, si possible dans la nature, car l’activité physique douce est un moyen essentiel de renforcer votre système immunitaire et combattre les infections.

    Au total, même si certaines personnes vulnérables doivent faire très attention, il est rassurant de savoir que :

    La grande majorité des gens ne risque rien : pour eux, le coronavirus sera un « gros rhume ».

     

    Et contrairement aux grandes épidémies de l’histoire, les enfants sont totalement épargnés par le coronavirus, ce qui est une heureuse nouvelle.

    Il n’y a donc pas de raison de paniquer !

    OK, mais pourquoi les gouvernements ferment les écoles et les restaurants ??

    Il est vrai les décisions des gouvernements sont angoissantes.

    Beaucoup de gens se disent : « si nos décideurs prennent des mesures aussi radicales, c’est que le problème doit être beaucoup plus grave que ce qu’on veut bien nous dire !! »

    Mais non, ce n’est pas le cas.

    Comme je vous l’expliquais dans ma dernière lettre, l’objectif des gouvernements est de lisser l’épidémie dans le temps.

    Ce qu’ils craignent (et ils ont raison !), c’est que nos hôpitaux soient totalement débordés.

    Car le gros problème du coronavirus, c’est que beaucoup de malades ont besoin :

    D’une assistance respiratoire (donc d’un ventilateur) ;

     

    et, pour les cas les plus graves, d’être placés en soins intensifs.

    Le problème est que le nombre de ventilateurs, ainsi que le nombre de place en réanimation et soins intensifs est limité.

    Si trop de monde attrape le coronavirus en même temps, les hôpitaux risquent d’être totalement débordés.

    Et quand cela arrive, des gens meurent, alors qu’on aurait pu les soigner !

    C’est ce qui s’est passé à Wuhan (en Chine), et en Italie du Nord : la mortalité du virus est supérieure à la normale, car le système hospitalier a été dépassé.

    Voilà pourquoi la plupart des gouvernements prennent des mesures radicales, à juste titre.

    Quand les hôpitaux sont débordés de malades du coronavirus :

    non seulement des personnes fragiles meurent, alors qu’on aurait pu les sauver ;

     

    mais les personnels soignants sont épuisés, peuvent subir un burn-out et, dans de rares cas, mourir de l’infection, parce que fragilisés par l’angoisse et le manque de sommeil.

    Voilà pourquoi il est impératif de lisser l’épidémie sur la durée.

    Mais notez bien que, même dans le pire des scénarios, seule une petite minorité des personnes vulnérables mourra du coronavirus.

    Même dans la région d’Hubei en Chine, au cœur de l’épidémie, il n’y a eu « que » 3 000 morts, pour une population équivalente à celle de la France.

    C’est 3 000 morts de trop, mais c’est tout de même peu comparé aux plus de 10 000 morts causés par les infections hivernales chaque année en France.

    Et il y a d’autres bonnes nouvelles, dont les médias ne parlent pas assez :

    Les Japonais ont largement maîtrisé l’épidémie, sans confinement généralisé (probablement parce qu’ils ont des frontières étanches et qu’ils utilisent tous des masques) ;

     

    En Corée du Sud, la mortalité est 10 fois plus faible qu’en Italie, en partie parce qu’ils utilisent des traitements plus efficaces que chez nous ;

     

    En Allemagne, à côté de chez nous, le taux de mortalité est très faible également – 10 fois moins élevé qu’en France ! (est-ce parce qu’ils évitent l’ibuprofène et le paracétamol ?)

    Mais le plus rassurant, pour moi, reste ce qu’on observe en Chine depuis plusieurs jours.

    Manifestement, la Chine a réussi à éteindre totalement l’épidémie (dimanche, le nombre de nouveaux cas n’était que de 20, dont 16 importés !!).

    C’est remarquable pour un pays de 1,4 milliard d’habitants, qui a pourtant été contaminé un peu partout, suite au Nouvel An chinois.

    Certes, des mesures sérieuses de confinement ont été prises, mais pas très différentes de ce qu’on fait en ce moment en Europe.

    Il y a donc toutes les raisons de penser que l’épidémie va refluer dans quelques semaines… et qu’elle ne restera qu’un mauvais souvenir, avec, espérons-le, moins de morts que la grippe saisonnière.

    Donc pas de panique !

    Je sais bien que la situation est particulièrement anxiogène, mais on va passer cette épreuve !

     

    Xavier Bazin - Santé Corps Esprit 

     

     

    *"Le virus est fragile : la seule chose qui le protège est une mince couche externe de gras.

    La CHALEUR fait fondre le gras ". (informations provenant de l'hôpital John Hopkins)

    La fièvre est la première défense du corps, elle contribue notamment à décomposer le virus, ce serait vraiment dommage et nous mettre en danger de l'anéantir, par contre elle se canalise de manière à protéger le corps. 

    Dans certains cas si le corps n'a pas eu les moyens de lutter contre le virus donc après la crise aigüe il peut y avoir des complications et le sang peut s'épaissir, donc dans ce cas les paracétamols peuvent fluidifier le sang, mais il existe aussi des plantes ou des moyens naturels tout aussi efficace.

     
    Pour vous inscrire : rendez-vous ici.


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  • Solutions désinfectantes pour les mains

     

     


     

    Solution hydro-alcoolique maison

    C’est une recette proche de celle* adressée par l’OMS aux professionnels de la pharmacie qui par contre est réservée à un usage médical. Le virus semble être sensible à une solution alcoolique à 70°. Mais pour qu'elle puisse agir plus favorablement contre les virus, il vaut mieux y rajouter certaines huiles essentielles.

    Pour 100 ml de gel non médical :

    84 ml d’alcool à 90%

    4 ml d’eau oxygénée à 10%

    1.5 ml de glycérine  

    40 gtt de quelques huiles essentielles mélangées de : Thym, eucalyptus, niaouli, tea tree, laurier noble, ravintsara…

    Compléter avec de l’eau bouillie refroidie ou stérile pour atteindre les 100 ml.

    Bien mélanger et conserver dans un flacon stérile et hermétique.

    Pour les enfants uniquement des HE ravintsara ou la meilleure solution est de bien se laver les mains (voir ci-après). Cette préparation est à proscrire car les enfants mettent vite les mains aux yeux et leur peau est plus fragile, il vaut mieux leur recommander de se laver les mains plus souvent.

    Le gel hydro-alcoolique est efficace avant tout pour tuer des bactéries et pour certains gels, des coronavirus. Il peut constituer une barrière pendant plusieurs heures. Il est donc très pratique quand on n'a pas la possibilité de se laver les mains. Mais il n'a pas d'effet nettoyant. Autre inconvénient : il altère les défenses immunitaires de la peau et il n'est pas forcément antiviral. De plus, il est déconseillé aux jeunes enfants. 


     

    Pour peau sensible :

    Gel à l’aloè vera

    75g Aloè

    6 g d’alcool 70°

    Thym, eucalyptus, niaouli, tea tree, laurier noble, pamplemousse blanc, ravintsara pour les enfants : en tout 40gtt d’HE (1gr) ou 40 gtt d’extrait de pépins de pamplemousse dosé à 800.

    Un indispensable à glisser dans son sac à main ou sac de voyage pour assainir les mains contre des microbes...Mais estimé pas suffisant contre les virus !

    Parceque d’après les normes officielles, pour être efficaces aux virus hivernaux, les solutions hydroalcooliques doivent contenir au minimum 60 % d'alcool.

    Pour se faire avec une huile végétale ou de l’aloè vera il faudrait 2/3 d’alcool isopropylique 99 %, également connu sous le nom d'alcool à friction, et le dernier tiers avec du gel d’aloe vera. Cette solution reste néanmoins agressive pour la peau.

     

    Se laver les mains à l'eau et au savon

    Le gel hydroalcoolique est efficace pour tuer un virus. Et il constitue une barrière pendant plusieurs heures. Il est donc très pratique quand on n'a pas la possibilité de se laver les mains. 

     

    Mais il n'a pas d'effet nettoyant. Autre inconvénient : il altère les défenses immunitaires de la peau. Et il est déconseillé aux jeunes enfants.

    La meilleure solution pour faire face à la pénurie de gels hydroalcooliques reste donc de se laver les mains à l’eau et au savon plusieurs fois par jour, pendant au moins 30 secondes, en s’attardant minutieusement sur chaque zone.

    Pour que ce geste d’hygiène soit efficace, il est essentiel de bien se sécher les mains avec une serviette à usage unique et d’utiliser cette serviette pour fermer le robinet, mais aussi pour ouvrir la poignée de la porte des toilettes ou de la salle de bain avant de la jeter.

    Les virus tels que le Sars-CoV-2 se transmettent essentiellement par l’intermédiaire de gouttelettes salivaires émises lorsque l'on parle, que l'on tousse, que l'on éternue. Mais ils peuvent également se transmettre de façon indirecte, par l’intermédiaire d’un objet contaminé par exemple. Et pour cause : nous touchons machinalement notre visage avec nos mains jusqu’à 3 000 fois par jour !

    Un mode de transmission qui rappelle l’intérêt du lavage des mains, premier geste barrière pour lutter contre les virus et les bactéries. Mais pour que ce réflexe d’hygiène soit efficace, encore faut-il le réaliser correctement !

    Comment bien se laver les mains ?

    Pour se laver les mains correctement, il est conseillé de :

    • frotter ses mains avec de l’eau et du savon liquide pendant au moins 30 secondes ;
    • procéder zone par zone : la paume, le dos, entre les doigts, les doigts et les poignets ;
    • ne pas oublier de bien frotter ses ongles, et de les couper - courts de préférence - régulièrement afin d'éviter que les bactéries s’y logent ;
    • sécher ses mains avec une serviette propre, ou à usage unique ;
    • utiliser cette serviette pour fermer le robinet.

    Quand faut-il réaliser ce geste d'hygiène ?

    Ce geste, qui peut être associé à l’utilisation d'une solution hydro-alcoolique, est à réitérer plusieurs fois par jour, et dans tous les cas après chacune de ces activités :

    • après une sortie à l’extérieur ;
    • après avoir emprunté les transports en commun ;
    • après vous être mouché, avoir toussé ou éternué ;
    • après avoir été en contact avec une personne malade ;
    • après être allé aux avoir toussé;
    • avant et après la préparation et la dégustation des repas ;
    • avant et après vous être occupé d’un bébé.

    Coronavirus : les autres recommandations pour se protéger

    Le lavage des mains n'est pas le seul geste efficace contre les virus. Pour se protéger du coronavirus, le gouvernement recommande également de tousser ou d'éternuer dans son coude, de se saluer sans se serrer la main, d'éviter les embrassades, d'utiliser des mouchoirs à usage unique et de porter un mouchoir quand on est malade.

    Sources : le site du ministère de la Santé, de l'Assurance maladie et de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

    *Composition de la recette recommandée par l’OMS aux pharmaciens

    • 833,3 ml d’éthanol 96%
    • 41,7 ml de peroxyde d’hydrogène 
    • 14,5 ml de glycérol 98 %

    Cet article ne se substitue pas aux recommandations officielles

    Messemaekers Martine de Activ-Bio


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  • Monsieur ou Madame,


    Je tiens à vous remercier pour votre don et votre contribution à Jimena Altervie (démarche écologique) de Activ-Bio.

    C’est avec des personnes comme vous que je vais pouvoir continuer mon chemin et rendre de meilleurs services et informations à de plus en plus de personnes et leurs permettre de vivre une vie meilleure.
    Je vous remercie de tout mon coeur.
    Encore merci pour votre générosité.

    Martine


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  • NOUS NE SOMMES PAS DES MOUTONS ! (Ep9)

     

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            Pour « un Monde Meilleur » en quelques points

     

     

    L’intérêt financier » prime sur tout : pas de partage équitable, pas de compassion, pas de respect du capital naturel et planétaire, ou de la masse « maigre ». Tout çà pour un groupuscule privilégié. Je pense que le peuple a essayé d’exprimer son mécontentement d’une manière civilisée mais hélas sans aucun succès. Il a compris les manœuvres d’escroqueries qu’il subit chaque jour. Mais je crois sincèrement qu’il n’accepte plus cela, il est dans le désespoir car il a perdu totale confiance au système de gouvernance, il pense à son futur et celui de ses enfants.

     

                                                        

     

    Quelles sont les causes et solutions possibles :

     

    1/D’abord, commençons par une sobriété heureuse. La simplicité volontaire ou sobriété heureuse est un mode de vie consistant à réduire volontairement sa consommation, ainsi que les impacts de cette dernière, en vue de mener une vie davantage centrée sur des valeurs définies comme « essentielles ».

     

    2/Si les gens étaient écoutés et que le gouvernement tenait compte de leurs besoins, ils n’iraient pas manifester de la sorte et ne feraient pas des grèves intempestives comme ça ! Mais les manifestations, les grèves, la révolution ou la guerre civile ne changeront rien, car elles n’apportent que du déni et des mesures de plus ne plus restrictives avec des "sanctions". La marche pour la mondialisation a commencé depuis longtemps. C’est pot de terre contre pot de fer car les élites des lobbys ont créé des mesures d’organisations mondiales pour assurer leurs arrières et ce déjà depuis de longues années ! Et les dirigeants sont au service de leur business. Elles influencent les lois notamment pour diviser et détruire la famille. Les parents ont de moins en moins le droit d’élever leurs enfants selon leur choix, ils n’ont pas plus de droits qu’un cousin, un voisin, c’est à l’état que dorénavant nos enfants appartiennent. Ils nous ont aussi embarqués dans une consommation effrénée sans modération. Et tout se met en place pour un contrôle parfait des populations. 

     

    Et oui nous sommes très conditionnés, il va falloir recadrer nos valeurs et nos peurs !

    3/Beaucoup de personnes pensent que notre système gouvernemental s’est octroyé des privilèges très abusifs. Ces personnes ressentent tellement de provocations et de mépris qu’il y a une réelle volonté de révolution ou de manœuvres de plus en plus violentes afin de se faire entendre et faire appliquer les droits aux citoyens. Le président semble avoir fait très souvent défaut à ses engagements et s’il ne se plie pas à accepter le RIC en toute matière, la majorité des citoyens aspirent à sa destitution. La solution ne réside pas dans la violence comme celle qu’on subit depuis de nombreux mois, il vaut mieux convaincre abondamment tous les députés, qu’ils donnent leur accord pour changer de président grâce à L'article 68 de la Constitution française. Les convaincre sur place aux assemblées à Paris, à Bruxelles ou à Strasbourg, de l’information pure et médiatique en toute légalité.

    Il faudra bien un jour ou l’autre un nouveau représentant mais qui devra accepter de se plier aux conditions de la majorité des citoyens (correction de la Constitution, RIC en toute matière, conditions du peuple avant le profit).

    De toute façon rien ne pourra changer tant que le système gouvernemental actuel n’a pas changé. N’oublions pas que le meilleur allié c’est l’opinion publique qui s’éveille à plus de justice.

     

    4/Un nouveau président ? Mettre une quelconque nouvelle personne dans ce gouvernement, ne changera rien tant que celui-ci n’a pas une politique différente dans son fonctionnement.

    En plus, les hommes sont pour la majorité, attirés par le pouvoir, l’argent…et pour çà ils sont prêts à renforcer encore les remparts de protections, à mentir ou à faire n’importe quoi ! Par contre, il vaut toujours mieux une personne humaine qu’une machine pour représenter nos revendications légitimes ici ou ailleurs.

    D’après certains, il ne faut plus une personne mais un groupe représentatif.

    Une assemblée ou un groupe représentatif a quand même besoin d’un représentant compétent pour relayer l’information, il faut juste le recadrage de ses droits et des droits de sa cour, après peu importe « l’autorité »,  pourvu qu’il soit indépendant des lobbys financiers et qu’il respecte son contrat de servir, les citoyens selon les conditions bilatérales établies. Heureusement, il existe des personnes qui ont le sens du devoir et des responsabilités et qui ont des compétences en matière de balance économique et de conflits internationaux, qui savent exprimer et négocier nos intérêts et qui ont la bonne conscience de servir prioritairement les citoyens plutôt que de s’accrocher à un trône.

    En résumé, il faudrait que l’élu représentatif soit une personne de confiance, qu’il accepte donc de changer la constitution en intégrant le RIC en toutes matières, qu’il tienne compte de ses engagements de mettre en priorité les besoins des citoyens plutôt que les intérêts financiers, qu’il n’ait pas des pupilles en forme de dollars et des iris en feuilles de laurier. Qu’il écoute et qu’il tienne compte des besoins du peuple. Que s’il ne tient pas ses engagements qu’il puisse être remplacé à un moment donné à la demande du peuple. Qu’il n’ait rien à cacher sauf sa vie familiale et intime qui ne regarde personne à partir du moment où il fait bien son travail. Dans l’idéal, un capitaine bien intentionné qui fait tout pour amener son navire à bon port. Je dirais même qu’il serait dans son devoir de participer aux bonnes causes, de faire de la permaculture, de faire des tâches pour l’embellissement de l’environnement, pour le bien-être de la jeunesse et d’animaux pour entretenir son degré d’humanité, d’humilité et de rester proche des réalités de ce monde vivant.

     

    5/La problématique de « La Croissance infinie » :

    Pour « la Croissance » laisserions-nous puiser toutes nos ressources, détruire la planète, le climat ; nous laisserions-nous ponctionner jusqu’à la moelle ?

    Ceux qui se permettent de croire ou de faire croire que le système de « Croissance » est l’unique moyen de survie de la planète et de ses habitants, sont des farfelus.

    Tout ne tourne pas autour de la « Croissance » technologique ou financière, l’autonomie locale peut coexister avec une « Croissance raisonnée » si celle-ci n’est pas abusive et ne s’accapare pas les ressources. Elle n’a d’ailleurs pas à monopoliser les ressources comme elle tente de le faire, à nous rendre dépendant d’elle, car elle est loin de pouvoir à elle seule assurer notre survie et celle de la planète. « La Croissance infinie » ça n’existe pas, parce qu’elle dépend des ressources et celles-ci ne sont pas inépuisables, surtout si elles ne sont pas préservées et entretenues.

     

    6/Les centralisations économisent des frais mais surtout du personnel et des travailleurs, mais de plus elles ont un impact écologique, énergivore et social beaucoup plus nuisible et entravent gravement la résilience écologique. C’est aussi la principale cause de l’industrialisation, avec les machines, de la baisse des emplois.

     

    7/Il faut privilégier l’autonomie locale, bravo pour celui qui a fait de la permaculture sur un rond-point, il faudrait de la permaculture partout où c’est possible afin de permettre aux gens de survivre dans de bonnes conditions, de faire des échanges et en même temps améliorer notre garde-manger. Multiplier les maraichers actuellement ils sont considérés comme les assassins de la faune et de la flore mais certainement pas à côté de l’agriculture industrielle qui ne devrait pas exister. Il faut trouver des solutions pour ceux qui entretiennent et assurent notre garde-manger « la Terre ».

    8/Les lois ou les règles abusives (qui sont souvent aussi créées pour protéger des intérêts cachés) qui démunissent ou asphyxient une activité saine devraient être interdites. Les petites entreprises artisanales, commerciales ou agricoles doivent être soutenues et protégées. Les situations devraient être étudiées cas par cas par rapport à l’intérêt qu’apporte cette activité sur le plan humain et planétaire et non pas sur son éventuelle petite part du marché financier qu’elle utilise afin d’assurer sa pérennité ou l’argent qu’elle va rapporter aux vautours de la hiérarchie.  

     

    9/Il faut augmenter des taxes sur les produits de luxe et industriels. Il faut supprimer les taxes sur la nourriture simple et uniquement taxer la nourriture raffinée industrielle. Il faut laisser aux gens la possibilité d’accès aux ressources naturelles élémentaires pour leur survie. Et surtout l’obligation d’entretenir ces ressources afin qu’elles persistent pour le bien de tous.

    10/La problématique des machines est une grande problématique. Les machines remplacent la main d’œuvre et créent une masse de gens considérée comme inutile et dont certains auraient bien envie de se débarrasser. Il y a donc de moins en moins de travail et en retour aucune compensation, ce sont ceux qui ont le pouvoir d'acheter des machines qui s'enrichissent sans tenir compte du droit d’existence des autres. Pour relancer le travail ou pour compenser le chômage forcé, il faut une taxe sur la main d'oeuvre économisée par les machines, ordinateurs, ou robots pour toutes entreprises dépassant un seuil de pollution environnementale ou un seuil de nuisance sociale. La machine au service de l’homme et non pas l’homme à son service. Et ces taxes serviront à restaurer les écosystèmes, à réparer les impacts sociaux et à financer un revenu universel.

    Il faut être raisonnable et prudent quant à l’utilisation de technologies qui nous facilitent la vie d’un côté mais la détruisent de l’autre, mesurons vraiment leurs utilités et leurs nuisances, pensons à aussi nous organiser sans, ainsi qu’à travailler tant que possible avec les mains et avec la tête. C’est une grande protection pour nous, de cultiver et d’entretenir nos capacités primaires et fondamentales. Tout est une question de mesure et de bon sens.

     

    11/Dans un pays normal où les gens sont respectés, l’éducation, l’instruction et la confiance acquise sont largement suffisantes pour que les gens soient agréables à vivre dans leur ensemble et acceptent une autorité comme un guide bienfaisant. Pas besoin de répression abusive et d’autoritarisme, sur des gens sensés. Attention à l’abêtissement dont nous sommes victimes à cause de la société de consommation qui a créé notre asservissement.

    12/Tant que le profit est notre principal moteur rien ne pourra fonctionner à notre avantage. Il faut un changement radical des mentalités grâce à la prise de conscience.

    J’ai juste partagé ma part d’idées « pour un Monde Meilleur », que celle-ci puisse être améliorée et qu’elle puisse donner l’inspiration pour la charte d’un Monde Meilleur. Ceci est une simple réflexion afin que nous et nos enfants puissions vivre dans un Monde Meilleur !

    Merci à vous pour les commentaires

    MESSEMAEKERS Martine

    Petit magasin de proximité Activ’Bio


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