• Taxe sur mains d'oeuvre économisées

    TAXE SUR MAINS D’ŒUVRE ECONOMISEES

    NOUS NE SOMMES PAS DES MOUTONS, NOUS LES SANS DENTS !

                                                            

    Taxe sur main d'oeuvre économisée

     

    On veut nous faire crever la dalle, ce n’est pas normal !

                         Il faut faire payer les vrais responsables.

    Les cols blancs ont une dette envers nous et envers la planète

    Ils doivent payer leur impact écologique et social 

    Payer l’équivalent des taxes patronales correspondant à la main d’œuvre économisée par des machines pour toutes les entreprises qui ont un impact écologique élevé 

    Citoyens de tous pays serrez-vous les coudes, il en va de notre intérêt pour tous, faîtes passer ce message et traduisez le dans toutes les langues, il en va de notre survie à tous ! 

     

    Il ne faut pas voiler la face, il ne s’agit pas seulement de traverser la rue pour trouver du travail.

    La grosse problématique actuelle est l’industrialisation, la centralisation et les systèmes sur dimensionnels, ils sont trop énergivores et utilisent l’automatisation, l’ordination, la robotisation à outrance ce qui détruit les emplois, les salaires, l’écosystème. Leurs bénéfices profitent aux cols blancs et à quelques privilégiés.

    C’est un véritable manque à gagner pour les petites entreprises et les ménages. La main d’œuvre vivante et productive disparaît, même les postes qualifiés sont touchés. L'emploi et le travail sont voués à disparaître. Les affirmations concernant le remplacement des hommes par des robots ne sont pas exagérées. Nous sommes déjà en plein dedans. Le « chômage » le prouve de plus en plus chaque jour. Evidemment le remplacement de la main d’œuvre s’étend au-delà de la production industrielle comme les grandes surfaces, les banques, les selfs services automatisés, les administrations, la santé, la sécurité, et les ménages… l’automatisation s’intègre partout…Et en plus le dernier échelon de la chaîne, est de plus en plus livrés à lui-même avec l’obligation de se démerder, de devoir s’équiper de systèmes complexes, couteux afin de ne pas subir l’exclusion ou sombrer dans la misère. Une peine de moins en moins surmontable.

    Ce ne sera certainement pas le commun des mortels qui profitera réellement de l’automatisation comme on essaye de nous faire croire. C’est un leurre qu’on paye cher indirectement. De l’automatisation découle pour le profit, des exploitations sur dimensionnelles envahissantes et destructrices qui entraînent de la pollution, des expulsions, de la déforestation, des problèmes climatiques, migrations, chamboulements sociaux, travail rare, épuisement des ressources, famines, conflits, guerres, plus assez d’argent pour acheter l’essentiel pour vivre décemment pour une grande partie de la population…  

    Ce sont surtout les cols blancs des hautes administrations, s’accaparant le monopole des ressources, détenant les plus grandes richesses et les grosses sociétés qui sont privilégiés car ils peuvent se payer les machines ou les robots les plus performants qui se substituent à la main d’œuvre vivante ainsi baisse le coût de leur production, les rendant de plus en plus riches et de plus en plus dévastateurs. Cela avec la collaboration d’une minorité de privilégiés et en se passant de la plus grande majorité du peuple.

    Avant les rois dépendaient de leurs serviteurs et les maintenaient en vie par intérêt, maintenant les cols blancs ont tout pouvoir car ils ont les moyens de s’offrir des « machines à tout faire » et n’ont plus besoin de l’homme pour assouvir leurs besoins ou leur désir de puissance, quitte à en laisser crever quelques-uns « milliards » au passage. La main d’œuvre vivante devenue in productive est juste bonne pour la casse au profit de la robotisation bien plus rentable pour les cols blancs. Ils n’ont plus les hommes à leur charge et n’ont que faire de leurs soucis, juste, qu’ils consomment, paient, qu’ils n’empiètent pas sur leurs platebandes, se taisent, et finiront bien par s’épuiser.

    C’est eux les vrais responsables, ils traficotent leurs business, utilisent nos politiciens comme des marionnettes moyennant très certainement de beaux avantages et consomment à une allure phénoménale les ressources terrestres et le peu qu’ils en restent, ils se les gardent jalousement.

    Dans cette situation les machines ne sont plus au service de l’homme mais elles sont à son détriment et seul les gros bonnets en tirent profits en nous obligeant de consommer …. la plupart du temps, comme eux le veulent !

    Je serais d’avis d’imposer à toutes les grosses sociétés d’un niveau d’impact écologique et sociale* élevé, une taxe

    1/ au prorata de leur dimension démesurée à impact écologique proportionnelle

    2/ au prorata de la « main d’œuvre vivante » remplacée par des machines, des robots ou des ordinateurs.

    Dans exonérer les petites entreprises qui ont un niveau raisonnable de productivité et de bon sens.

    Ce serait une occasion de rétablir l’équilibre pour retrouver une dimension humaine, relancer les petits producteurs, les petites entreprises, les petits commerces. La vie normale quoi, qui entretien la vie !

    Et ces taxes serviront à restaurer les écosystèmes, à réparer les impacts sociaux et à financer un revenu universel.

    A cette dimension, grâce au respect, aux valeurs, aux connaissances actuelles, aux mobilisations humaines nécessaires et responsables, il serait possible de s’intégrer ou de se fondre dans l’équilibre de l’écosystème. On pourrait utiliser raisonnablement des ressources ou des technologies utiles, celles-ci devraient rester au service de l’homme. Surtout on devrait rester dans l’optique de ne pas nuire au-delà du gérable et quand on prend, on restitue pour entretenir la durabilité. A cette dimension cela permettrai de relancer l’emploi, les capacités financières des ménages, le développement local indispensable et urgent pour préserver la planète.

    Les monstres de l’industrialisation et de la centralisation ont une impact écologique monumentale ingérable par l’homme et par la nature, ils sont complètement perturbants, nuisibles pour l’écosystème et la préservation de la planète, ils empêchent la population terrestre de survivre et ils sont de toutes évidences dépassés par les obligations engendrées de leur impact. Mais surtout aveuglés par leur profit. Pourquoi faire du peuple un potentiel de profit à tous les niveaux ? Je dirais même un produit financier !

    Et puis s’ils ne paient pas leur dette, il ne faut surtout plus les cautionner ou commercer avec eux, c’est le pouvoir et la responsabilité du consommateur qui fera la loi. C’est le consommateur qui doit être à la rescousse du citoyen pour sauver la planète grâce à son « caddie » ! Consommons le plus possible local, petites entreprises et petits commerces de proximité. Il faut revendiquer aussi des surfaces cultivables de proximité en rapport avec le nombre d’habitant et que ceux qui essayent de maintenir ou préserver l’autonomie locale soient soutenus, détaxés. C’est l’urgence, ce sont des priorités pour qu’on s’en sorte.

    Il faut bien sûr se remettre en question, les moutons hypnotisés sont aussi avides de pouvoirs, d’artifices, de conforts exagérés sur le compte de la planète et celle-ci a vraiment besoin d’être ménagée, entretenue. Un peu de modestie et de sagesse chez chacun de nous, nous sera profitable ainsi qu’à la planète terre et tous ses habitants !

    C’est mondialement qu’il faut imposer ces mesures, le peuple doit le revendiquer. Citoyens de tous pays serrez-vous les coudes à ce niveau-là, il en va de notre intérêt pour tous ! Faîtes passer ce message et traduisez le dans toutes les langues, il en va de notre survie à tous !

    *Les cols blancs sont ceux qui tirent profit de l’exploitation abusive 

     

    *Impact écologique d’une entreprise peut être définie comme "La surface de ses besoins environnemental, sa consommation et le monopole éventuel des ressources naturelles, son niveau de pollution et les déchets engendrés et sa trace laissée sur la planète du fait de son activité qui demandera un certain temps grâce à l’énergie humaine et environnementale pour s'effacer, pour être assimilée et que tout puisse redevenir naturel et prospère comme avant. Evaluée de 0 à 100 000 par échelle de 1000 par exemple.

    *Impact social : implantations imposantes et délétères de sociétés qui n’apportent pas en contrepartie et proportionnellement, des ressources ou suffisamment de travail local à cause par exemple de machines qui remplacent la main d’œuvre. Les sociétés devraient payer l’équivalent des taxes patronales correspondant à la main d’œuvre économisée par des machines, ordinateurs, robots ou autres. Les sociétés concernées sont celles qui ont un impact écologique de + de 1000. Elles doivent payer leur dette envers la planète et la société afin de pouvoir compenser en partie leur nuisance occasionnée au profit de peu de mains d’œuvre. Celles en-dessous de mille sont exonérées.

     

    « C’est normal que l’impact écologique ou social d’une société entraine une dette »

    « Impact écologique » (se rapproche de « l’empreinte écologique ») (SVP calculateur au travail pour l’équation, merci)

     

     

    Auteur : Messemaekers Martine

     

    Petit commerce de proximité ACTIV’BIO

     

    La Seyne Sur Mer, le 12-11-18                                            

     

                                                                                                                                                 Droit d’auteur réservé 

     

     

     

     

     

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